Dans les chemins tortueux de la vie ...

Ou rien n'est jamais précis
Il faut parfois souvent tomber ...Pour savoir mieux se relever ...
Nous rampons mais jamais ne cédons ...
Même si nos vies et nos corps ne sont plus au diapason
Nous subissons cette course folle ...

Quitte à tomber dans la rigole
Comme une bête traquée nous allons nous cacher
Pour ne pas montrer que nous sommes blessés
Dans la solitude nous pansons nos plaies
Nous hurlons ... dieu que je vous hais
A l'abri des regards nous laissons jaillir ces larmes
Témoins de nos drames ...
Dans cette existence parfois sans espoir...

Ou il fait souvent trop noir
Ou la plus lourde des sentences
Nous fait malgré nous entrer dans la danse
Nous continuons d'avancer pour essayer de gagner
Gagner un nouveau souffle de vie
Et balayer ce sursis qui nous a tant prit
Reprendre cette vie qui malgré nous nous détruit
Vaincre ou mourir qui y'a-t-il de pire
Vaincre ou subir ... pleurer ou en rire
Mais nous savons malgré tout qu'il y a quelque part
Quelqu'un plus malheureux que nous
Même si âpres tout on s'en fout
sur cette terre ici bas ou chacun ne pense plus qu'à soit ...

bien triste constat ...
Ce n'est pourtant pas une consolation
Non s'est juste la plus terrible des désillusions
Quand cesserons les drames ?
Quand cesserons les larmes ?
La vie est parfois infâme pire que le tranchant d'une lame
Entaillé à vif ... s'échouer sur le plus dur des récifs
Lâcher ses mots pour palier ses maux
Et laisser couler ses plus longs sanglots
Même à demi-mots

  ils resteront gravés en lettres de sang sur ma peau
Et je porte tout cela comme le plus lourd des fardeaux ...
mais le temps balaye parfois ...

tout ce que l'on contemplait un jour avec effroi

Puis ... on oublie qu'un jour on a eu froid ...

Une de mes créas …

Pour ceux qui passent par là et qui étaient aussi sur les spaces msn

J’ai changé de pseudo pour Hope mais je suis Tarja

Bisous à vous tous qui passez par ici

Ma derniere video realisée avec certaines photos du concert de Tarja Turunen

au Zenith de st étienne le 19 novembre 2010 ou j'ai eu la chance d'être ...

Vas vole ... petite luciole

Vas lui dire que prés de lui mon cœur caracole

Que je l’aime plus que ma vie

Qu’il est tout pour moi et mon oxygène aussi

Vas lui chanter les louanges

Celles de son ange ...

Celui qui ne vit que pour lui

Celui qui dans ses bras se sent au paradis

Loin de ses yeux mais jamais loin de son cœur

Je saurais l’attendre pendant des heures

Il est ce que j’ai de plus beau dans ma vie

Il est mon âme sœur mon double aussi

Ce que mon cœur ne sait lui dire … mes mots savent le décrire

Il est mon présent et qui sait peut être un jour mon avenir

Personne ne saurait le dire …

Il est l’autre moitié de moi

Celle, sans laquelle je ne vis pas

Sans lui mon cœur a toujours froid …

J’ai tant besoin de ses bras …

Nos ébats sont à l'unisson

Nos corps sont en pleine fusion

Avec lui l'amour sent si bon ...

Et mon bonheur n'est plus illusion ...

Je suis lui il est moi ...

Et cela personne ne nous le prendra ...

Advienne que pourra ...

Je l'aime et rien n'y changera

Merci ma Sad pour cette superbe créa

Elle voit dans son miroir le reflet de son âme perdue

Cette image qu’elle reflète elle ne la reconnaît plus

Perdue et seule dans les méandres de l’amour elle ne peut faire demi-tour

Elle se cherche et pourtant ne se retrouve pas

Ce reflet elle ne le connaît pas …

Mais des larmes cette fois elle n’en lâchera pas

Son cœur est asséché et ses yeux sont arides

Et pourtant sa douleur n’a pas prit une ride …

Tout ce vide qui m’envahit aujourd’hui

Me rappelle à nouveau que dans la vie n’est rien n’est jamais acquit

Et même si encore malgré tout je sourie je n’ai plus l’envie …

Je m’accroche pourtant à toutes ces belles images

Ranger dans un coin de moi, bien trop sage

L’amour peut encore faire des ravages

Mais je n’arrive plus à atteindre le rivage

Un besoin de lâcher mes cris …

De passer quelque temps dans l’oubli

Je ne suis pas en vie je suis en sursis

Tout le temps j’y pense et jamais je n’oublie

Je me perds dans des chemins

Qui ne sont pas les miens

Mais c en vain

Je suis en manque de ses mains

De notre demain …

Mais rien ne vient …

Reprendre sa vie

Etre enfin heureuse …

Oublier à jamais ces heures douloureuses

Penser a soit avancer chaque jour pas a pas

Conjuguer un présent ou tu n’es pas

Apprendre à vivre sans toi

Conjuguer cette absence l’apprivoiser qu’elle ne soit plus une sentence

Se rendre un jour à l’évidence

Aimer à nouveau ...

S’ouvrir à un monde peut être pas si beau, mais ou il fait bon vivre

Oublier ces heures où l’on tanguait comme un bateau ivre

Oublier ce parfum qui n’est peut être plus le sien

Oublier l’odeur de ses mains quand elles caressaient d’un amour divin

Prendre un nouveau chemin peut être n’est il pas le mien

Ça je n’en sais rien …

Mais qui ne tente rien n’a rien

Comme un vide que je ne peux combler …

Une absence que je ne peux effacer

J’avance tel un pantin qui ne cesse d’errer

Sans but et privé de toute liberté …

Je cherche un regard … un nouveau point de départ

Je reste seule sur ce quai de gare, mon regard n’en est que plus hagard

J’avance vers ce vide immense …

Tous ces doutes, ce vide me mène à la démence

Je n’y trouve que les traces de ton absence

Cette douleur est ma pénitence …

La nuit vient de tomber … le manque ne fait que s’amplifier

Il me manque tout … puisqu’il me manque toi

Je suis en mal de toi et je ne comprends pas

Le temps a pourtant passé … mes larmes ont cessés de couler 

Pourtant elles laissent sur moi une empreinte indélébile

L’absence de ses mots et de ses gestes futiles …

Quand on les conjugue au présent, ils paraissent débiles

Mon cœur à jamais enchainé au tien ne pourra jamais être délivré

La mort ne pourrait apaiser …

Ce manque … cette douleur … cette blessure qui mitraille mon cœur

En sueur j’ai des hauts de cœur …

je vomis malgré moi toute cette douleur

Une absence qui n’en fini pas … une violence qui ne s’apaise pas

Je combats malgré moi …

 je sais que cela aura un jour ou l’autre raison de moi

Qui sais si cela me délivrera …

aujourd’hui encore je suis en manque de toi

Rien ni personne ne te remplacera … rien ni personne ne me guérira

Mon cœur n’appartient qu’à toi …

Dans le bleu de tes yeux j’aime me noyer

Dans le bleu de tes yeux j’aime me perdre et me laisser bercer

Il me renvoi toute cette tendresse qui me fait devenir déesse

Déesse de ton royaume … dans ton amour je trône

Je prône tes louanges, tu es mon seul est unique ange

Dans mon cœur doucement tu as pénétré …

Aujourd’hui tu me l’as volé …

Toi seul en détiens la clé …

J’aime comme je n’ai jamais aimé

Les autres n’étaient que des copiés collés

Des amours contrefaits …

Avec toi je réapprends le verbe « Aimer »

J’aime et je me surprends à le conjuguer

A rêver de liberté et qui sais d’une autre destiné

J’ai frappé aux portes du paradis le jour ou tu es entré dans ma vie

Aujourd’hui je la trouve plus que jolie …

Souvent tu hante mes nuits … De toi mon cœur est éprit 

J’ai parfois l’impression de sombrer dans la folie

Mes sens et mes émotions sont décuplés aussi

Mais je sais que cet amour est gravé à jamais dans ma vie

Oui mon cœur tu me l’as pris …

Je t’aime et c’est à vie …

Les mots ne seront jamais assez forts

Pour te dire ce que je ressens encore et encore

Mais ce que je sais …

S’est que loin de toi mon cœur s’endort …

Il est comme mort …

Flagrant délit de misère …

Pieds et poings liés c’est la guerre

Pire qu’un adultère …

Hostilité et dépit instinct de survie

Combattre aujourd’hui dire qu’on est en vie

L’exclusivité n’est pas une gaité …

Contrariété assurée …

Un peu plus étouffer … ne plus respirer

Se sentir épié de n’avoir rien fait …

Juste de posséder ce que l’autre voudrait

Peu à peu s’effacer jusqu'à s’en oublier

Juste pour éviter …

Plus d’identité … se sentir piégé

Mais pourtant aimer mais tant étouffer …

La jalousie de cette autre vie qui nous a détruits

Rien jamais ne survie d’être cloitré ainsi …

Besoin d’oxygène qu’à cela ne tienne …

Cette liberté est mienne …

Ces chaines briser et tout éclater

Sa cause plaider … mais être jugée … déjà condamnée

De n’avoir rien fait …

Juste d’exister … voir de respirer … d’être la gaité, la jovialité

Comment expliqué qu’on a existé … et qu’à nous brimer

Ont va étouffer et tout éclater … et sure ce paumer …

Y’a rien à gagner … le piège va se refermer …

Triste réalité …

Il faut tout briser et se libérer …

Ou dans une cage à jamais se laisser enfermer …