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Par HOPE le 14 Novembre 2010 à 15:40
Je l’ai dans la peau … et pourtant il m’a souvent mis en lambeaux
Mais il m’a offert un jour ce qu’il y avait de plus beau
Pourtant je suis montée à l’échafaud
Mon cœur s’est prit un râteau …
Je l’ai dans la peau … il le sait le saligaud
Je l’aime à m’en damner … Je l’aime à en crever
Avec lui j’ai appris à conjuguer le verbe Aimer
Mais aussi à déverser toutes les larmes que mon cœur pouvait verser
Et pourtant je l’ai dans la peau
A mes yeux il reste le plus beau …
Il reste l’autre moitié de moi … Sans laquelle je ne vie pas
Le son de sa voix … me mets toujours autant en émoi
Je suis lui, il est moi …
Et rien ni personne n’y changera
Ces mots n’appartiennent qu’à moi
Mais il sait mieux que quiconque tout cela
Je le porte tatoué sur ma peau …
Gravé a jamais en moi …
cette partie de moi ...
Personne ne pourra la reconquérir …
Et souvent j’en délire
Un amour aussi passionnel est souvent criminel …
Mais j’y reviens de plus bel
Je l’ai dans la peau … il reste a jamais mon amour le plus beau
J’ai en mémoire toutes ses images même les moins sages
Celles ou nos corps et nos cœurs ne faisaient qu’un
Celles ou il me tenait la main … ou je lui disais viens …
Amour inconditionnel tu reste mon grimoire
Et même si je replonge dans le noir ce soir j’ai encore envie d’y croire
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Par HOPE le 14 Novembre 2010 à 14:02
Oraison funeste … tu es tout ce que je déteste
Quand j’entends sonner ton glas mon cœur se glace de froid
Pourquoi est tu toujours après moi … Je ne veux pas de toi !!!
Passe ton chemin … oublie moi
Je veux vivre et ne plus jamais avoir froid
Tu n’es pas la bienvenue ta présence est corrompu
Notre pacte est rompu … J’ai gagnée tu as perdu …
Tu ne m’attraperas plus !!!
J’ai versée toutes mes larmes … Mais je ne baisserais jamais les armes
Je suis une guerrière prête à vaincre la misère
J’ai le feu sacré en moi !!
Plus jamais tu ne feras une victime de moi
Je n’ai plus foi en toi …
La victime maintenant … s’est toi
Les rôles sont inversés à toi maintenant de pleurer
J’ai donnée tout ce que j’avais à donner …
Tu as fini pas passer au rang des oubliés
Tu fais partie de moi, comme un souvenir …
Mais plus jamais je ne rentrerais dans tes délires
Pleurer ou en rire qui y’a-t-il de pire ?
Maintenant à moi de choisir
J’ai choisi la vie … celle-ci n’a pas de prix
Même si souvent elle me parait tortueuse et surtout moqueuse
Elle a fait de moi une rageuse …
Je sais que je peux être courageuse …
J’ai vaincu bien d’autres guerres … et j’en suis fière
Fière de la femme qui se dresse devant toi aujourd’hui
Et qui te crie : ça suffit !!!
Je reprends ma vie …Tu n’as plus ta place ici …
La peur s’est enfuit … s’est fini
L’emprise n’existe plus … cette fois tu as perdu
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Par HOPE le 13 Novembre 2010 à 14:00
J’ai trop courbée l’échine… j’ai des envies de crimes
J’ai trop pleurée … j’ai envie de tout balancer
Marre de voir ce reflet qui n’est pas moi …
Marre de vivre avec ce quelqu’un qui ne changera pas
Besoin d’oxygène … de vibrer sous des ‘‘ je t’aime’’
Courber l’échine, plier mais ne jamais rompre …
Marre de me voir cirer les pompes …
Envie de vomir mes tripes … aujourd’hui je suis en mode Bad trip
Un besoin de tout éjecter, pour enfin pourvoir avancé
Vivre et recommencer d’exister …
Je ne suis que l’ombre de moi-même
Mon visage en devient même blême
Je survie mais ne vis pas …
Ma place n’est pas celle là …
Je ne serais jamais soumise
Aujourd’hui j’ai déclarée la crise …
Je crie à m’en époumoner …
Pour me prouver que je continue d’exister
Hurler en silence s’est se prouver que l’on est en vie
Briser le silence … s’est exister aussi
Troquer sa vieille peau … jeté son vieux fardeau
Faire peau neuve … balayé toutes les épreuves
Reprendre gout à la vie …
Chasser le mépris …
Même si rien n’est jamais acquis
Rien n’est facile dans la vie …
Se relever un peu plus jour après jour
Découvrir la vie sous un nouveau jour …
Elle se parera de ses plus beaux atours …
Le chemin se fera à pas de velours
Mais … plus jamais je ne ferais demi-tour …
J’ai posée la première pierre de mon édifice
Je jauge avec malice …
Celui dont j’ai supportée tant de supplices
Je fais fis de tous ses caprices …
J’ai choisi de prendre le reste de ma vie en main
Et personne ne me retiens …
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Par HOPE le 13 Novembre 2010 à 13:42
La vie nous rend souvent féroce
Pas pour autant qu'elle brise notre écorce
La vie ne nous fait pas de cadeaux
Pas pour autant qu'elle ne nous offre pas ce qu'il y a de plus beau
Pourtant elle nous semble parfois un fardeau
Qu’on aimerait délester de notre cerveau
La vie nous apprend bien trop souvent a nos dépends
Qu’il suffit d'un grain de sable
Pour que plus rien ne soit comme avant
Mais ce n'est pas pour autant
Qu’il ne faut pas continuer d'aller de l'avant
Malgré les tempêtes ...
Malgré les naufrages ...
Toujours chercher à atteindre le rivage
Les images deviendront un jour bien plus sages
Lorsque nous aurons atteint le passage ...
Prendre des décisions ...
Même si nos cœurs et nos têtes sont en contradiction
Distinguer le mauvais du bon
Et se dire continuer à quoi bon
Cesser de se jeter contre un mur ...
Et de prendre les dommages collatéraux en pleine figure
Ne jamais tomber cette armure
Notre force elle assure !!!
Nos âmes blessées souvent irradiées
Nos cœurs brulés au troisième degré
Nos larmes laissé couler comme pour vouloir nos âmes purifier
Dire ok c’est décidé je reprends ma liberté
Se sentir agressé par tout ce qui peut nous entourer
Mais laisser nos cœurs saigner …
Comme pour vouloir mieux panser nos plaies
Aimer est un verbe difficile à conjuguer …
Mais aller au bout de ce que l’on a décidé
C’est aussi ça la liberté …
Ne pouvoir exprimer … pourtant ce que l’on sait
Mais ne pouvoir se résigner …
Et continuer malgré tout à aimer ...
Tout simplement se dire ...
Aimer s'est aussi savoir laisser partir ...
Même si tout cela fait souffrir
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Par HOPE le 13 Novembre 2010 à 12:56
Mon soleil est retombé derrière l’horizon
Ce soir j’ai entendu mon oraison funeste pour de bon
Mon soleil s’est couché …
Mon oxygène s’est coupé …
A jamais privé de ce qui me faisait vibrer
Je vais me laisser couler …
Je veux me noyer, pour ne plus penser
Oublier je ne pourrais jamais
Alors !!! J’attendrais que la faucheuse vienne me chercher
Pour que je finisse enfin de délirer
Pour que j’arrête d’agoniser
Le poison ne peut cesser de s’infiltrer …
L’antidote n’existera jamais …
Souffrir ainsi ne devait pas exister
Mais je savais déjà que l’on pouvait mourir d’aimer
Aujourd’hui j’ai cessée d’exister … auprès du seul homme que j’ai vraiment aimé
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Par HOPE le 11 Novembre 2010 à 20:18
Rien n'est bien quand tu es loin
Tout est laid ... tout est surfait
Je suis en permanence en manque de souffle
Loin de tes bras je m'essouffle
Loin de toi rien ne va ...
Il me manque tout, puisqu'il me manque toi
Tu es le maitre de mon royaume, dans lequel sans toi je me paume
Tu es moi ... je suis toi
Mon présent je ne le vois loin de tes bras
L’avenir je n'y songe même pas ...
Un besoin de m'enivrer de toi
Jusqu’a tomber ivre de tendresse, de tes caresses
Me noyer dans le bleu de tes yeux
À cet instant précieux où il n'existe plus que nous deux
Je suis en manque de toi ...
Mon univers ... mon roi ...
Mon autre moi ...
Ou es tu ... tu es si loin de moi
J’ai le souffle court ... en manque de cet amour
Le présent est si lourd ...
Devant mes cris, il reste sourd
J’ai la tripaille en ripaille
Une douleur ... me mitraille le poitrail
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Par HOPE le 10 Novembre 2010 à 18:16
Entre le doute et l’indécision
Ou se trouve la solution
Je la cherche au plus profond de moi
Mais je ne la trouve
Mon cœur et ma tète sont en contradiction
Mon estomac est en ébullition
Je sais que je dois sonner le glas
Mais je ne m’y résous pas
Je suis comme une mer agité
Que rien ne peut calmer
Comme un bateau en perdition
Dans ma tête s’est la révolution
Alors je me renferme sur moi
Cherchant ses réponses qui ne viendront pas
Alors j’attends le trépas …
Et le doute s’empare à nouveau de moi …
Je dois sortir vainqueur de tout cela
Advienne que pourra …
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Par HOPE le 9 Novembre 2010 à 15:57
Il avait sa façon à lui de me rendre si jolie ...
Sa façon de caresser mon visage quand nos mains devenaient moins sages
D'aborder mon rivage de me renvoyer cette image ...
Images de l'amour quand son cœur me faisait la court
Etreintes emplis de velours aux notes acidulés de l'amour
Amour passionnel mais parfois si cruel ...
J'en étais pourtant une pure inconditionnelle
Mais la source s'est tarie un jour ... Nos cœurs ont fait demi-tour
Dans un fracas si sourd la sentence est tombée
Mon être n'a jamais pu s'en relever
Il est, et restera cet homme gravé là au fond de moi
Cette pensée n'appartient qu'à moi
Qui sais si un jour de nouveau elle se partagera
Dans ces yeux si bleus j'aimais me noyer ...
Comme on vient prés d'un feu pour se réchauffer
Mais je m'y suis brulée et mon cœur en cendres s'est consumé
Je me suis cachée pour pleurer mais rien n'y fait je suis à jamais blessée
Je suis sans lui ... comme une source sans vie
Il n'entend plus mes cris et pourtant je suis toujours ici
J'ère comme un fantôme ... une reine qui a perdu son royaume
Et même si je me paume ...
Tous les chemins me ramènent à lui il est encore trop ancré dans ma vie
Il est ma plus belle source d'inspiration pourtant je la croyais tarie pour de bon
Résister ... à quoi bon sans lui je ne discerne plus d'horizon
Je sais que j'en perds la raison ... ma tête dit oui mais mon cœur dit encore non
Alors à quoi bon ...
Privé d'oxygène ... plus un souffle ... plus de vie ...
Sauf ce temps qui s'égraine ... et qui s'enfuit ...
Me laissant si désarmée aujourd'hui ... avec pour seule compagnie ...
Cette peine qui me suit pire qu'une chienne ... qui restera à jamais mienne
Alors, quoi qu'il advienne, je puise dans cette peine pour faire jaillir mes mots
En y déposant les maux ... les petits fleuves deviennent si souvent des si beaux ruisseaux
J'y dépose doucement mon cœur en lambeaux ... comme une bouteille à la mer
Qui sait si un jour elle retrouvera son cœur devenu pierre
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Par HOPE le 9 Novembre 2010 à 15:48
J'étais une chrysalide ... avec toi j'étais devenue papillon
Mes ailes j'ai brulée pour de bon, pour moi il n'existe plus de saison
Les ailes je me suis à jamais brulée... je ne sais plus volée
Plus je pense a ça plus je m'aperçois que ce temps qui passe ne me guérira pas
Je manque de toi ...
Le bleu de tes yeux est devenu si gris ... j'ai sombrée dans l'oubli
Tu n'entends plus mes cris ...
Tu n'entends plus toutes ses larmes qui coulent sans bruit
Mon cœur voudrais cesser de battre... il a déjà cessé de s'ébattre
Je n'entends plus tomber la pluie ... je n'entends que le soupir de mes cris
Je voudrais cesser de souffrir ainsi ...
L'espace que tu as mis entre toi et moi ...me glace avec effroi
Il me parait comme un océan sans fond ...
Ou je m'abandonne à quoi bon
J'ai touchée le fond je suis dans la case prison ...
Tous ses jours qui se lèvent me paraissent inutiles ... la vie me parait si futile
Pour certain cela peux paraître débile ...
Mais lorsque s'éloigne cette presqu'ile sur laquelle nos cœurs se sont échoués
Que reste t'il de ce passé ... le risque est de se noyer sans pouvoir jamais remonter
Ne plus respirer ... parce l'oxygène se met à manquer
Tout est noir ... tout est gris ... la vie s'est enfuit il ne reste plus rien ici
Le soleil a cessé de briller... la lumière s'est éteinte à jamais
Oublié ces étreintes et ses plus douces complaintes ...
Je ne savais pas que l'on pouvait mourir d'amour un jour
Je crois qu'aujourd'hui s'est mon tour ...
Tourne les aiguilles des horloges du temps ... et ses heures qui s'enfuient doucement
Rien ne sera plus jamais comme avant ... je le sais maintenant
Je dois faire mon deuil à présent ... et pourtant ...
Tu es encore en moi si présent ...
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Par HOPE le 9 Novembre 2010 à 15:37
Comme un vide que je ne peux combler ...
Une absence que je ne peux effacer
J'avance tel un pantin qui ne cesse d'errer
Sans but et privé de toute liberté ...
Je cherche un regard ... un nouveau point de départ
Je reste seule sur ce quai de gare, mon regard n'en est que plus hagard
J'avance vers ce vide immense ...
Tous ces doutes, ce vide me mène à la démence
Je n'y trouve que les traces de ton absence
Cette douleur est ma pénitence ...
La nuit vient de tomber ... le manque ne fait que s'amplifier
Il me manque tout ... puisqu'il me manque toi
Je suis en mal de toi et je ne comprends pas
Le temps a pourtant passé ... mes larmes ont cessés de couler
Pourtant elles laissent sur moi une empreinte indélébile
L'absence de ses mots et de ses gestes futiles ...
Quand on les conjugue au présent, ils paraissent débiles
Mon cœur à jamais enchainé au tien ne pourra jamais être délivré
La mort ne pourrait apaiser ...
Ce manque ... cette douleur ... cette blessure qui mitraille mon cœur
En sueur j'ai des hauts de cœur ... je vomis malgré moi toute cette douleur
Une absence qui n'en fini pas ... une violence qui ne s'apaise pas
Je combats malgré moi ... je sais que cela aura un jour ou l'autre raison de moi
Qui sais si cela me délivrera ... aujourd'hui encore je suis en manque de toi
Rien ni personne ne te remplacera ... rien ni personne ne me guérira
Mon cœur n'appartient qu'à toi ...
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Par HOPE le 9 Novembre 2010 à 15:21
N'a plus de mot ... juste des maux
Brisée ... pour ne pas dire fracassée
Je viens contre ce mur de m'éclater ... je l'ai percuté de plein fouet
En pleine figure ... Face contre face ...
Dommages collatéraux irrémédiables
Le cœur en morceaux, le reste en lambeaux ...
Tout est brisé, tout est corrompu ... J'ai perdue ...
Ce bonheur ne m'appartient plus
Je sais ... s'est moi qui suis partie ...
On fait des choix difficiles dans la vie ...
S'est ainsi ...
Aimer s'est savoir aussi laisser partir ... Peut être pour enfin guérir ...
Guérir de tous ces maux qui entaillaient ma peau ...
Juste envie de hurler ... comme pour conjurer
Ce sort qui vient sur moi, de se jeter
Mon cœur est comme mitraillé ... Brulé au troisième degré
Je n'ai même plus les mots ... Il ne me reste que mes sanglots
Je suis vidée ... terrassée ...
Mon être est un volcan si prêt de l'irruption
Ma bouche ne plus émettre un son
Alors comme à chaque fois que je suis blessée
Je vais aller me cacher ... me recroqueviller
Vomir ma douleur ... entremêlée de pleures ...
Je resterais là ainsi ... des heures ... essayant de maitriser ma douleur
J'ai trop voulu ... j'y ai trop cru ... Aujourd'hui je me suis perdue ...
J'aurais tellement de choses à dire ... Mais je ne peux les écrire ...
Je ne suis plus sure de rien ... Je n'entrevoie pas de demain ...
Dans ma vie il fait si noire ... je ne suis pas dans un cauchemar
Non je suis bien éveillée ... je n'ai pas rêvée
J'ai lâchée sa main ... j'ai quittée son chemin
Parce que je l'aime plus que moi-même ... J'ai voulu abroger sa peine ...
Confondu à la mienne elle n'en était que plus insupportable
Nous étions sur des fondations un peu trop instables ...
Oui j'ai lâchée sa main ... et je ne vais pas bien
Je croyais qu'en soulageant sa peine je serais sereine
Mais il n'en est rien ... j'ai plus gout à rien
Je suis une âme perdue ... Je suis une parvenue ... qui va errer sans fin ...
Je n'ouvrirais plus jamais mon cœur ...lui seul était mon ame sœur
Il était celui que je désirais ... mais ...
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Par HOPE le 9 Novembre 2010 à 10:18
La façade est parfaite mais l’intérieur est brisé
Ses sentiments, ses peurs, elle ne sait que trop bien les dissimuler
Peur d’être jugée, mais surtout … peur de montrer qu’un jour elle a été brisée …
Brulée au 3 eme degré …
Sa confiance elle ne l’accorde plus …
Son âme est comme dévêtue, faute de s’être mise à nu
La peur de souffrir, la fait souvent fuir
Elle sait que cela peut faire sourire …mais pour elle c’est éviter le pire
Radicalement elle s’efface, pour ne pas perdre la face
Jusqu’à en devenir invisible et éviter ainsi d’être à nouveau prise pour cible
Derrière son sourire se cache une profonde tristesse
Souvent elle simule … dissimule ses faiblesses …
Elle n’a plus d’espoir, plus d’envie
Pour la douleur jamais de répit …
Le doute prend souvent le pas sur la raison
Son esprit et son cœur sont sans cesse en collision
De ce passé pervers elle ne garde que le gout amer
Ethéré de souffrances …
Celles qui retournent le couteau dans la plaie chaque fois qu’on y pense
Laissant place à un sentiment si présent, si oppressent, qu’il en devient Hostile
Déversant son fiel sur sa pauvre victime …
Il en devient sentence … il est impertinence
Pour cette âme qui se perd, condamnant son esprit à vivre dans l’errance
Ce rituel si tranchant, qu’il en est arrogant …
Ne pouvant se projeter vers l’avant alors qu’elle le voudrait tant
Elle n’ouvrira plus son cœur sauf à sa fidele page blanche
Elle y lâchera ses douleurs si amères… comme lors d’une avalanche
Des douleurs en rafale … s’est son cœur qui dévale
Il se fracasse sans bruit … là ou la vie s’est enfuit
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Par HOPE le 8 Novembre 2010 à 15:39
Femme de l’ombre au regard si sombre
Elle crie … mais personne ne l’entends
Tout est vide à présent …
Elle ère comme une âme en peine
Mais quoi qu’il advienne … elle ne reconnait plus ces mots
Ils ne réchauffent ni son cœur ni sa peau
Jeté là en pitance aux lionceaux
Elle ne trouvera plus jamais le repos
Elle ne vit pas … mais survit
Laisse couler ses larmes sans bruit…
Sa douleur tranchante comme une lame,
a déchiqueté son âme ...
Tristesse et souffrance sont ...
aujourd’hui le quotidien de sa nouvelle vie
Elle ne vie que dans le replie,
pour que personne ne puisse entendre ses cris
Elle vit en reclus … son cœur ne bat plus …
Son oxygène se bouffe, sa vie s’éteint sans un souffle …
En pleine agonie, elle attend l’alla lie
Elle suffoque devant ces photos jaunies …
Elles lui rappellent qu’avant il y avait une vie, ici …
Elle se laisse sombrer sans bruit … elle ferme les yeux …
Pousse un dernier cri … aucun son n’est sorti …
S’est fini il n’y a plus de vie …
elle est tombée dans les affres de l’oublie
Plus rien ne la retiens ici …
Tout s’est éteint … tout est fini …
Elle doit quitter cette vie qui n’est que mépris,
ou elle n’a plus sa place, elle le sait aussi
2 commentaires -
Par HOPE le 8 Novembre 2010 à 14:22
Je la croyais partie …
A tout jamais effacée de moi
Et bien non la revoilà ...
Hope est toujours en moi
Comme une flamme vive
Elle rallume le coté si sombre qui est en moi
Elle réveille la tristesse et les blessures
Que je ne peux effacer
Et voila mes larmes recommencent a couler
Marre de ces chimères …
Marre de toujours me perdre
Dans des lieux où je ne devrais jamais poser les pieds
On pense que la blessure est cicatrisée …
Mais elle ne l’est jamais
Elle est là tapit dans un coin
Et n’attends qu’une faille pour s’engouffrer
La faille c’était toi … c’était encore et encore toi
Et Voila …
Il suffit d’une musique d’un parfum … et la douleur revient
Qui me délivrera … je ne sais pas … je n’y crois pas
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