• des mots pour mes maux

     

    des mots pour mes maux

     

    Je l’ai dans la peau … et pourtant il m’a souvent mis en lambeaux

    Mais il m’a offert un jour ce qu’il y avait de plus beau

    Pourtant je suis montée à l’échafaud

    Mon cœur s’est prit un râteau …

    Je l’ai dans la peau … il le sait le saligaud

    Je l’aime à m’en damner … Je l’aime à en crever

    Avec lui j’ai appris à conjuguer le verbe Aimer

    Mais aussi à déverser toutes les larmes que mon cœur pouvait verser

    Et pourtant je l’ai dans la peau

    A mes yeux il reste le plus beau …

    Il reste l’autre moitié de moi … Sans laquelle je ne vie pas

    Le son de sa voix … me mets toujours autant en émoi

    Je suis lui, il est moi …

    Et rien ni personne n’y changera

    Ces mots n’appartiennent qu’à moi

    Mais il sait mieux que quiconque tout cela

    Je le porte tatoué sur ma peau …

    Gravé a jamais en moi …

    cette partie de moi ...

    Personne ne pourra la reconquérir …

    Et souvent j’en délire

    Un amour aussi passionnel est souvent criminel …

    Mais j’y reviens de plus bel

    Je l’ai dans la peau … il reste a jamais mon amour le plus beau

    J’ai en mémoire toutes ses images même les moins sages

    Celles ou nos corps et nos cœurs ne faisaient qu’un

    Celles ou il me tenait la main … ou je lui disais viens …

    Amour inconditionnel tu reste mon grimoire

    Et même si je replonge dans le noir ce soir j’ai encore envie d’y croire

     

     des mots pour mes maux

     


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  • des mots pour mes maux

     

    des mots pour mes maux

     

    des mots pour mes maux

    Oraison funeste … tu es tout ce que je déteste

    Quand j’entends sonner ton glas mon cœur se glace de froid

    Pourquoi est tu toujours après moi … Je ne veux pas de toi !!!

    Passe ton chemin … oublie moi

    Je veux vivre et ne plus jamais avoir froid

    Tu n’es pas la bienvenue ta présence est corrompu

    Notre pacte est rompu … J’ai gagnée tu as perdu …

    Tu ne m’attraperas plus !!!

    J’ai versée toutes mes larmes … Mais je ne baisserais jamais les armes

    Je suis une guerrière prête à vaincre la misère

    J’ai le feu sacré en moi !!

    Plus jamais tu ne feras une victime de moi  

    Je n’ai plus foi en toi …

    La victime  maintenant … s’est toi

    Les rôles sont inversés à toi maintenant de pleurer

    J’ai donnée tout ce que j’avais à donner …

    Tu as fini pas passer au rang des oubliés

    Tu fais partie de moi, comme un souvenir …

    Mais plus jamais je ne rentrerais dans tes délires

    Pleurer ou en rire qui y’a-t-il de pire ?

    Maintenant à moi de choisir

    J’ai choisi la vie … celle-ci n’a pas de prix

    Même si souvent elle me parait tortueuse et surtout moqueuse

    Elle a fait de moi une rageuse …

    Je sais que je peux être courageuse …

    J’ai vaincu bien d’autres guerres … et j’en suis fière

    Fière de la femme qui se dresse devant toi aujourd’hui

    Et qui te crie : ça suffit !!!

    Je reprends ma vie …Tu n’as plus ta place ici …

    La peur s’est enfuit … s’est fini

    L’emprise n’existe plus … cette fois tu as perdu


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  • des mots pour mes maux

    J’ai trop courbée l’échine…  j’ai des envies de crimes

    J’ai trop pleurée … j’ai envie de tout balancer

    Marre de voir ce reflet qui n’est pas moi …

    Marre de vivre avec ce quelqu’un qui ne changera pas

    Besoin d’oxygène … de vibrer sous des ‘‘ je t’aime’’

    Courber l’échine, plier mais ne jamais rompre …

    Marre de me voir cirer les pompes …

    Envie de vomir mes tripes … aujourd’hui je suis en mode Bad trip

    Un besoin de tout éjecter, pour enfin pourvoir avancé

    Vivre et recommencer d’exister …

    Je ne suis que l’ombre de moi-même

    Mon visage en devient même blême

    Je survie mais ne vis pas …

    Ma place n’est pas celle là …

    Je ne serais jamais soumise

    Aujourd’hui j’ai déclarée la crise …

    Je crie à m’en époumoner …

    Pour me prouver que je continue d’exister

    Hurler en silence s’est se prouver que l’on est en vie

    Briser le silence … s’est exister aussi

    Troquer sa vieille peau … jeté son vieux fardeau

    Faire peau neuve … balayé toutes les épreuves

    Reprendre gout à la vie …

    Chasser le mépris …

    Même si rien n’est jamais acquis

    Rien n’est facile dans la vie …

    Se relever un peu plus jour après jour

    Découvrir la vie sous un nouveau jour …

    Elle se parera de ses plus beaux atours …

    Le chemin se fera à pas de velours

    Mais … plus jamais je ne ferais demi-tour …

    J’ai posée la première pierre de mon édifice

    Je jauge avec malice …

    Celui dont j’ai supportée tant de supplices

    Je fais fis de tous ses caprices …

    J’ai choisi de prendre le reste de ma vie en main

    Et personne ne me retiens …

     

     

     


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  • des mots pour mes maux

    des mots pour mes maux

    La vie nous rend souvent féroce

    Pas pour autant qu'elle brise notre écorce

    La vie ne nous fait pas de cadeaux

    Pas pour autant qu'elle ne nous offre pas ce qu'il y a de plus beau

    Pourtant elle nous semble parfois un fardeau

    Qu’on aimerait délester de notre cerveau

    La vie nous apprend bien trop souvent a nos dépends

    Qu’il suffit d'un grain de sable

    Pour que plus rien ne soit comme avant

    Mais ce n'est pas pour autant

    Qu’il ne faut pas continuer d'aller de l'avant

    Malgré les tempêtes ...

    Malgré les naufrages ...

    Toujours chercher à atteindre le rivage

    Les images deviendront un jour bien plus sages

    Lorsque nous aurons atteint le passage ...

    Prendre des décisions ...

    Même si nos cœurs et nos têtes sont en contradiction

    Distinguer le mauvais du bon

    Et se dire continuer à quoi bon

    Cesser de se jeter contre un mur ...

    Et de prendre les dommages collatéraux en pleine figure

    Ne jamais tomber cette armure

    Notre force elle assure !!!

    Nos âmes blessées souvent irradiées

    Nos cœurs brulés au troisième degré

    Nos larmes laissé couler comme pour vouloir nos âmes purifier

    Dire ok c’est décidé je reprends ma liberté

    Se sentir agressé par tout ce qui peut nous entourer

    Mais laisser nos cœurs saigner …

    Comme pour vouloir mieux panser nos plaies

    Aimer est un verbe difficile à conjuguer …

    Mais aller au bout de ce que l’on a décidé

    C’est aussi ça la liberté …

    Ne pouvoir exprimer … pourtant ce que l’on sait

    Mais ne pouvoir se résigner …

    Et continuer malgré tout à aimer ...

    Tout simplement se dire ...

    Aimer s'est aussi savoir laisser partir ...

    Même si tout cela fait souffrir

    des mots pour mes maux

     

     


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  • des mots pour mes maux

    Mon soleil est retombé derrière l’horizon

    Ce soir j’ai entendu mon oraison funeste pour de bon

    Mon soleil s’est couché 

    Mon oxygène s’est coupé …

    A jamais privé de ce qui me faisait vibrer

    Je vais me laisser couler …

    Je veux me noyer, pour ne plus penser

    Oublier je ne pourrais jamais

    Alors !!! J’attendrais que la faucheuse vienne me chercher

    Pour que je finisse enfin de délirer

    Pour que j’arrête d’agoniser

    Le poison ne peut cesser de s’infiltrer …

    L’antidote  n’existera jamais …

    Souffrir ainsi ne devait pas exister

    Mais je savais déjà que l’on pouvait mourir d’aimer

    Aujourd’hui j’ai cessée d’exister … auprès du seul homme que j’ai vraiment aimé

     

     


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  • des mots pour mes maux

    Rien n'est bien quand tu es loin

    Tout est laid ... tout est surfait

    Je suis en permanence en manque de souffle

    Loin de tes bras je m'essouffle

    Loin de toi rien ne va ...

    Il me manque tout, puisqu'il me manque toi

    Tu es le maitre de mon royaume, dans lequel sans toi je me paume

    Tu es moi ... je suis toi

    Mon présent je ne le vois loin de tes bras

    L’avenir je n'y songe même pas ...

    Un besoin de m'enivrer de toi

    Jusqu’a tomber ivre de tendresse, de tes caresses

    Me noyer dans le bleu de tes yeux

    À cet instant précieux où il n'existe plus que nous deux

    Je suis en manque de toi ...

    Mon univers  ... mon roi ...

    Mon autre moi ...

    Ou es tu ... tu es si loin de moi

    J’ai le souffle court ... en manque de cet amour

    Le présent est si lourd ...

    Devant mes cris, il reste sourd

    J’ai la tripaille en ripaille

    Une douleur ... me mitraille le poitrail

     

     

     

     

     


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    des mots pour mes maux

    Entre le doute et l’indécision

    Ou se trouve la solution

    Je la cherche au plus profond de moi

    Mais je ne la trouve

    Mon cœur et ma tète sont en contradiction

    Mon estomac est en ébullition

    Je sais que je dois sonner le glas

    Mais je ne m’y résous pas

    Je suis comme une mer agité

    Que rien ne peut calmer

    Comme un bateau en perdition

    Dans ma tête s’est la révolution

    Alors je me renferme sur moi

    Cherchant ses réponses qui ne viendront pas

    Alors j’attends le trépas …

    Et le doute s’empare à nouveau de moi …

    Je dois sortir vainqueur de tout cela

    Advienne que pourra …

    des mots pour mes maux

    des mots pour mes maux

     

     


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  • des mots pour mes maux


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    Il avait sa façon à lui de me rendre si jolie ...
    Sa façon de caresser mon visage quand nos mains devenaient moins sages
    D'aborder mon rivage de me renvoyer cette image ...
    Images de l'amour quand son cœur me faisait la court
    Etreintes emplis de velours aux notes acidulés de l'amour
    Amour passionnel mais parfois si cruel ...
    J'en étais pourtant une pure inconditionnelle
    Mais la source s'est tarie un jour ... Nos cœurs ont fait demi-tour
    Dans un fracas si sourd la sentence est tombée
    Mon être n'a jamais pu s'en relever
    Il est, et restera cet homme gravé là au fond de moi
    Cette pensée n'appartient qu'à moi
    Qui sais si un jour de nouveau elle se partagera
    Dans ces yeux si bleus j'aimais me noyer ...
    Comme on vient prés d'un feu pour se réchauffer
    Mais je m'y suis brulée et mon cœur en cendres s'est consumé
    Je me suis cachée pour pleurer mais rien n'y fait je suis à jamais blessée
    Je suis sans lui ... comme une source sans vie
    Il n'entend plus mes cris et pourtant je suis toujours ici
    J'ère comme un fantôme ... une reine qui a perdu son royaume
    Et même si je me paume ...
    Tous les chemins me ramènent à lui il est encore trop ancré dans ma vie
    Il est ma plus belle source d'inspiration pourtant je la croyais tarie pour de bon
    Résister ... à quoi bon sans lui je ne discerne plus d'horizon
    Je sais que j'en perds la raison ... ma tête dit oui mais mon cœur dit encore non
    Alors à quoi bon ...
    Privé d'oxygène ... plus un souffle ... plus de vie ...
    Sauf ce temps qui s'égraine ... et qui s'enfuit ...
    Me laissant si désarmée aujourd'hui ... avec pour seule compagnie ...
    Cette peine qui me suit pire qu'une chienne ... qui restera à jamais mienne
    Alors, quoi qu'il advienne, je puise dans cette peine pour faire jaillir mes mots
    En y déposant les maux ... les petits fleuves deviennent si souvent des si beaux ruisseaux
    J'y dépose doucement mon cœur en lambeaux ... comme une bouteille à la mer
    Qui sait si un jour elle retrouvera son cœur devenu pierre

     


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    J'étais une chrysalide ... avec toi j'étais devenue papillon
    Mes ailes j'ai brulée pour de bon, pour moi il n'existe plus de saison
    Les ailes je me suis à jamais brulée... je ne sais plus volée
    Plus je pense a ça plus je m'aperçois que ce temps qui passe ne me guérira pas
    Je manque de toi ...
    Le bleu de tes yeux est devenu si gris ... j'ai sombrée dans l'oubli
    Tu n'entends plus mes cris ...
    Tu n'entends plus toutes ses larmes qui coulent sans bruit
    Mon cœur voudrais cesser de battre... il a déjà cessé de s'ébattre
    Je n'entends plus tomber la pluie ... je n'entends que le soupir de mes cris
    Je voudrais cesser de souffrir ainsi ...
    L'espace que tu as mis entre toi et moi ...me glace avec effroi
    Il me parait comme un océan sans fond ...
    Ou je m'abandonne à quoi bon
    J'ai touchée le fond je suis dans la case prison ...
    Tous ses jours qui se lèvent me paraissent inutiles ... la vie me parait si futile
    Pour certain cela peux paraître débile ...
    Mais lorsque s'éloigne cette presqu'ile sur laquelle nos cœurs se sont échoués
    Que reste t'il de ce passé ... le risque est de se noyer sans pouvoir jamais remonter
    Ne plus respirer ... parce l'oxygène se met à manquer
    Tout est noir ... tout est gris ... la vie s'est enfuit il ne reste plus rien ici
    Le soleil a cessé de briller... la lumière s'est éteinte à jamais
    Oublié ces étreintes et ses plus douces complaintes ...
    Je ne savais pas que l'on pouvait mourir d'amour un jour
    Je crois qu'aujourd'hui s'est mon tour ...
    Tourne les aiguilles des horloges du temps ... et ses heures qui s'enfuient doucement
    Rien ne sera plus jamais comme avant ... je le sais maintenant
    Je dois faire mon deuil à présent ... et pourtant ...
    Tu es encore en moi si présent ...

     


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  • Comme un vide que je ne peux combler ...
    Une absence que je ne peux effacer
    J'avance tel un pantin qui ne cesse d'errer
    Sans but et privé de toute liberté ...
    Je cherche un regard ... un nouveau point de départ
    Je reste seule sur ce quai de gare, mon regard n'en est que plus hagard
    J'avance vers ce vide immense ...
    Tous ces doutes, ce vide me mène à la démence
    Je n'y trouve que les traces de ton absence
    Cette douleur est ma pénitence ...
    La nuit vient de tomber ... le manque ne fait que s'amplifier
    Il me manque tout ... puisqu'il me manque toi
    Je suis en mal de toi et je ne comprends pas
    Le temps a pourtant passé ... mes larmes ont cessés de couler
    Pourtant elles laissent sur moi une empreinte indélébile
    L'absence de ses mots et de ses gestes futiles ...
    Quand on les conjugue au présent, ils paraissent débiles
    Mon cœur à jamais enchainé au tien ne pourra jamais être délivré
    La mort ne pourrait apaiser ...
    Ce manque ... cette douleur ... cette blessure qui mitraille mon cœur
    En sueur j'ai des hauts de cœur ... je vomis malgré moi toute cette douleur
    Une absence qui n'en fini pas ... une violence qui ne s'apaise pas
    Je combats malgré moi ... je sais que cela aura un jour ou l'autre raison de moi
    Qui sais si cela me délivrera ... aujourd'hui encore je suis en manque de toi
    Rien ni personne ne te remplacera ... rien ni personne ne me guérira
    Mon cœur n'appartient qu'à toi ...

     

     

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    N'a plus de mot ... juste des maux
    Brisée ... pour ne pas dire fracassée
    Je viens contre ce mur de m'éclater ... je l'ai percuté de plein fouet
    En pleine figure ... Face contre face ...
    Dommages collatéraux irrémédiables
    Le cœur en morceaux, le reste en lambeaux ...
    Tout est brisé, tout est corrompu ... J'ai perdue ...
    Ce bonheur ne m'appartient plus
    Je sais ... s'est moi qui suis partie ...
    On fait des choix difficiles dans la vie ...
    S'est ainsi ...
    Aimer s'est savoir aussi laisser partir ... Peut être pour enfin guérir ...
    Guérir de tous ces maux qui entaillaient ma peau ...
    Juste envie de hurler ... comme pour conjurer
    Ce sort qui vient sur moi, de se jeter
    Mon cœur est comme mitraillé ... Brulé au troisième degré
    Je n'ai même plus les mots ... Il ne me reste que mes sanglots
    Je suis vidée ... terrassée ...
    Mon être est un volcan si prêt de l'irruption
    Ma bouche ne plus émettre un son
    Alors comme à chaque fois que je suis blessée
    Je vais aller me cacher ... me recroqueviller
    Vomir ma douleur ... entremêlée de pleures ...
    Je resterais là ainsi ... des heures ... essayant de maitriser ma douleur
    J'ai trop voulu ... j'y ai trop cru ... Aujourd'hui je me suis perdue ...
    J'aurais tellement de choses à dire ... Mais je ne peux les écrire ...
    Je ne suis plus sure de rien ... Je n'entrevoie pas de demain ...
    Dans ma vie il fait si noire ... je ne suis pas dans un cauchemar
    Non je suis bien éveillée ... je n'ai pas rêvée
    J'ai lâchée sa main ... j'ai quittée son chemin
    Parce que je l'aime plus que moi-même ... J'ai voulu abroger sa peine ...
    Confondu à la mienne elle n'en était que plus insupportable
    Nous étions sur des fondations un peu trop instables ...
    Oui j'ai lâchée sa main ... et je ne vais pas bien
    Je croyais qu'en soulageant sa peine je serais sereine
    Mais il n'en est rien ... j'ai plus gout à rien
    Je suis une âme perdue ... Je suis une parvenue ... qui va errer sans fin ...
    Je n'ouvrirais plus jamais mon cœur ...lui seul était mon ame sœur
    Il était celui que je désirais ... mais ...

     

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    mes mots pour mes maux

    La façade est parfaite mais l’intérieur est brisé

    Ses sentiments, ses peurs, elle ne sait que trop bien les dissimuler

    Peur d’être jugée, mais surtout … peur de montrer qu’un jour elle a été brisée …

    Brulée au 3 eme degré …

    Sa confiance elle ne l’accorde plus …

    Son âme est comme dévêtue, faute de s’être mise à nu

    La peur de souffrir, la fait souvent fuir

    Elle sait que cela peut faire sourire …mais pour elle c’est éviter le pire

    Radicalement elle s’efface, pour ne pas perdre la face

    Jusqu’à en devenir invisible et éviter ainsi d’être à nouveau prise pour cible

    Derrière son sourire se cache une profonde tristesse

    Souvent elle simule … dissimule ses faiblesses …

    Elle n’a plus d’espoir, plus d’envie

    Pour la douleur jamais de répit …

    Le doute prend souvent le pas sur la raison

    Son esprit et son cœur sont sans cesse en collision

    De ce passé pervers elle ne garde que le gout amer

    Ethéré de souffrances …

    Celles qui retournent le couteau dans la plaie chaque fois qu’on y pense

    Laissant place à un sentiment si présent, si oppressent, qu’il en devient Hostile

    Déversant son fiel sur sa pauvre victime …

    Il en devient sentence … il est impertinence

    Pour cette âme qui se perd, condamnant son esprit à vivre dans l’errance

    Ce rituel si tranchant, qu’il en est arrogant …

    Ne pouvant se projeter vers l’avant alors qu’elle le voudrait tant

    Elle n’ouvrira plus son cœur sauf à sa fidele page blanche

    Elle y lâchera ses douleurs si amères… comme lors d’une avalanche

    Des douleurs en rafale … s’est son cœur qui dévale

    Il se fracasse sans bruit … là ou la vie s’est enfuit

     


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  • mes mots pour mes maux

    mes mots pour mes maux

     

     

     

    Femme de l’ombre au regard si sombre

    Elle crie … mais personne ne l’entends

    Tout est vide à présent …

    Elle ère comme une âme en peine

    Mais quoi qu’il advienne … elle ne reconnait plus ces mots

    Ils ne réchauffent ni son cœur ni sa peau

    Jeté là en pitance aux lionceaux

    Elle ne trouvera plus jamais le repos

    Elle ne vit pas … mais survit

    Laisse couler ses larmes sans bruit…

    Sa douleur tranchante comme une lame,

    a déchiqueté son âme ...

    Tristesse et souffrance sont ...

    aujourd’hui le quotidien de sa nouvelle vie

    Elle ne vie que dans le replie,

     pour que personne ne puisse entendre ses cris

    Elle vit en reclus … son cœur ne bat plus …

    Son oxygène se bouffe, sa vie s’éteint sans un souffle …

    En pleine agonie,  elle attend l’alla lie

    Elle suffoque devant ces photos jaunies …

    Elles lui rappellent qu’avant il y avait une vie, ici …

    Elle se laisse sombrer sans bruit … elle ferme les yeux …

    Pousse un dernier cri … aucun son n’est sorti …

    S’est fini il n’y a plus de vie …

    elle est tombée dans les affres de l’oublie

    Plus rien ne la retiens ici …

    Tout s’est éteint … tout est fini …

    Elle doit quitter cette vie qui n’est que mépris,

    ou elle n’a plus sa place, elle le sait aussi

     

     


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  • mes mots pour mes maux 

    mes mots pour mes maux

    Je la croyais partie …

    A tout jamais effacée de moi

    Et bien non la revoilà ...

    Hope est toujours en moi

    Comme une flamme vive

    Elle rallume le coté si sombre qui est en moi

    Elle réveille la tristesse et les blessures

    Que je ne peux effacer

    Et voila mes larmes recommencent a couler

    Marre de ces chimères …

    Marre de toujours me perdre

    Dans des lieux où je ne devrais jamais poser les pieds

    On pense que la blessure est cicatrisée …

    Mais elle ne l’est jamais

    Elle est là tapit dans un coin

    Et n’attends qu’une faille pour s’engouffrer

    La faille c’était toi … c’était encore et encore toi

    Et Voila …

    Il suffit d’une musique d’un parfum … et la douleur revient

    Qui me délivrera … je ne sais pas … je n’y crois pas

     

     

     


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