•  des mots pour mes maux

     

    Copyright interdit ces textes sont la propriété de l’auteur

    Merci de ne pas les utiliser ni les copier sans autorisation préalable

     

    des mots pour mes maux

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • 2 commentaires
  • des mots pour mes maux

    Moi, perdu dans tes yeux
    Sur le point de franchir la grande faille
    Toi, dérivant au loin
    Ton esprit, ton âme, ton corps, jour par jour
    Rien ne nous arrête toi et moi
    Nous devons le faire ou mourir ce soir
    Alors dis-moi pourquoi je suis seul
    Quand nous sommes étendus ici ensemble
    Dans une nuit qui est si froide
    Et tu est juste un contact loin d'ici
    Bébé, essaie de tenir
    Jusqu'à ce que nous le fassions pour toujours
    Nous sommes vivant
    Et le Futur ne meurt jamais
    J'ai été mourant dans mon coeur
    Retenant les larmes que je n'ai jamais pleuré
    A présent, je suis à terre
    Parce que tout ce que tu es ce dont j'ai besoin
    Tu est tout ce qui importe dans tout ça
    Ne me laisse pas tomber, tu dois...
    Me dire pourquoi je suis seul
    Quand nous sommes étendus ici ensemble
    Dans une nuit qui est si froide
    Et tu est juste un contact loin d'ici
    Bébé, essaie de tenir
    Jusqu'à ce que nous le fassions pour toujours
    Nous sommes vivant
    Et le Futur ne meurt jamais
    nous sommes vivants
    Et le Futur ne meurt jamais
    Nous devons venir ensemble

     des mots pour mes maux


    votre commentaire
  •  

      

    Briser à jamais les chaines qui vers le fond m’entrainent

     Ne plus me laisser noyer dans le noir broyé ...

     Déployer le courage, ne plus jamais vivre à moitié

     Remonter les raz de marée qui poussent à renoncer

     Toujours avancer !!!

     Déserteur de l’armée des victimes

     Evadé du tourment ici bas, même le chasseur déprime

     Voyez, vous ne m’aurez pas vivant

     Insoumis à la gravité réfractaire à ces vérités

     De paradis qui s’enfuit et d’enfers mérités ...

     


    votre commentaire
  •  

    Please help me …

     

    Give me something I can’t believe …

     


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •  

    Homme enfant mais non moins amant, ...

     

    Ça dur si peu de temps très vite souffle le vent

     

    Balayant l amant ramenant l enfant ...

     

    Dur d y vivre au présent ou est la raison là dedans

     

    Pour des corps à corps en rêve il effleure laissant sec mon cœur

     

    Par tristesse ou par pudeur je laisse égrainer les heures

     

     Peur de ce présent marchant seul devant …

     

     Les sermons ne servent à rien il choisit son chemin

     

     Très vite lassé de ce vieux jouet ….

     

     Il l’a délaissé tel une rose elle va se faner

     

    Voila mon ressenti mes maux … ils ne sont pas beaux

     

     J ai le cœur en lambeaux je suis sur la plus haute marche de mon échafaud

     

    J ai froid dans le dos j ai mal dans ma peau

     

    Je voudrais crier mais le souffle vient à me manquer

     

    Je l ai tant aimé il a trop joué

     

    Je me suis perdue … cet amour est bien corrompu

     

    Terrassée je suis, le mur je me suis pris ...

     

    Ainsi est ma vie je l ai bien compris

     

     Des mots pour des maux le soleil est retombé derrière l horizon

     

     J avais donc raison il reste un poison,

     

     Tel un venin il s’est  infusé dans tout mon corps il s’est infiltré

     

      Jusqu’a terrasser le plus beau qu’une femme puisse lui donner ...

     

      J ai déjà jouée et j avais perdu pourtant j y ai cru

     

      Mais le temps venu l homme enfant a réapparu

     

      Pour m’être à nouveau mise a nu  je me suis perdue …

     


    votre commentaire
  •   

    A trop vouloir y croire on fini par se persuader …

     Fini le rêve retour à la réalité

     Le cœur se mets a douter …

     Ce serait il trompé …

     Erreur de jugement … erreur de sentiments

     Sombres pressentiments …

     Mais elle souffle fort la tempête… là dedans

     Mais à trop vouloir y croire on fini par se perdre …

     Pour ce que je peux ressentir à présent  pas de verbe …

     Elle n’était pas plus verte … cette p…. d’herbe

     Mon cœur s’assèche et pourtant je prêche …

     Je voudrais croire encore mais, je n’y crois plus c’est mort

     Il est jeté ce triste sort … s’est le retour du encore et encore

     Le temps est venu de la mise a mort

     Ai-je raison ou tort … je ne sais pas encore

     Mais je connais mon sort

     Mon destin je le tiens dans ma main …

     Je connais déjà ce refrain … mais ne reconnais pas la fin

     Froid, effroi et chagrin …

     Restent à jamais miens …

     Et pourtant j’y ai cru mais tout est toujours corrompu

     Ame perdue sans collier … pieds et poings liés

     Verrais je un jour la vérité, trouverais je un jour la sérénité

     J’ai surement encore le droit de rêver …

     Mais surtout le droit encore de pleurer

     De panser mes plaies …

     Alors je vais aller me cacher pour ne pas être débusquée

     Et surtout ne pas être jugée … parce que bien trop souvent condamnée

     Je voudrais à jamais effacer tous ces mots et ces maux que j’ai trop lâché

     Vomir mes tripes … évité le méga Bad-trip

     A quoi bon lâcher tous ces maux … ils restent à jamais mon fardeau

     Et l avenir qui se profile a l’horizon n’est vraiment pas beau …

     J’en ai froid dans le dos …

     

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •  des mots pour mes maux

    Peut-être puis-je, peut-être puisses-tu
    Apporter un changement au monde
    Nous cherchons à atteindre une âme
    Perdue dans l’obscurité
    Peut-être puis-je, peut-être puisses-tu
    Trouver la clef des étoiles
    Pour attraper l'’esprit de l'’espoir
    Pour sauver un cœur désespéré
    Tu lèves les yeux au ciel
    Ton esprit empli de ces questions
    Tout ce dont tu as besoin est d'entendre
    La voix de ton cœur
    Dans un monde cerné par la douleur
    Quelqu'un t'appelle
    Pourquoi ne rendons-nous pas ça réel
    Peut-être que moi, peut-être que toi
    Peut-être ne fais-je, peut-être ne fais-tu
    Que rêver quelques fois
    Mais le monde serrait froid
    Sans des rêveurs comme toi
    Peut-être ne suis-je, peut-être n'es-tu
    Un soldat de l'’amour
    Né pour porter la flamme
    Amenant la lumière dans l’'obscurité
    Tu lèves les yeux au ciel
    Ton esprit empli de ces questions
    Tout ce dont tu as besoin est d’'entendre
    La voix de ton cœur
    Dans un monde cerné par la douleur
    Quelqu'un t' appelle
    Pourquoi ne rendons-nous pas ça réel
    Peut-être que moi, peut-être que toi
     

      

      

    Traduction de la musique de Scorpion Maybe I ...

     


    3 commentaires

  • 1 commentaire
  •  

     

    Le pouvoir des mots … engendre des maux …

     Les entractes … sonnent souvent le dernier acte … 

    Ils y a des décisions qui font peur …

     Apres elles ont meurent …

     Mais bien souvent sans pudeur, elles laissent affluer toutes les rancœurs

     Jeux de mots pour des maux …

     Instants critiques, dans le cœur ça pique …

     Ne plus vouloir penser … mais laisser déverser

     Toute cette douleur, celle qui brule si fort à l’intérieur,

     Tous ces pleures …avec ou sans pudeur

     Et pourtant, juste le temps d’un instant …

     On revoit des images du temps qui défilent… là devant …

     Parfois des photos jaunis … sur lesquelles ont sourient

     Parfois des images blessantes et s’est la descente …

     Descente aux enfers … ont croisent le fer

     Des images qui font froid dans le dos …

     On oublie le plus beau …

     Alors ont se raccrochent à ce qui n’est plus

     Un passé, un vécu … mais des instants qui font mal

     Pour certains ils paraissent banals …pour d’autres ils seront fatales

     Ainsi va la vie … doucement elle s’écrit …

     Alors on cri …parfois, sans bruit …

     Personne ne nous entend …

     Parce que ces cris restent là dedans …Mais le présent s’est devant …

     Et rien ni personne ne sait ce qu’il nous attend

     Alors doucement ont laissent déverser …

     Ces sanglots longs ceux qui se sont échappés …

     S’est comme une épée qui au dessus de nous s’est bien installée …

     Vivre au présent n’est pas évident … mais il faut aller de l’avant …

     Et laisser pleurer ce qui est là dedans …

     Ecrire s’est hurler en silence … terrible sentence

     Alors ont avancent, le cœur est en transe …

     Il faut quitter la danse … s’est la dernière chance

     Glissent alors les maux et les mots … et coulent les sanglots

     En lettres de sang ont défient le temps …

     Rien ne sera plus comme avant je le sais maintenant …

     Les affres du temps jouent sur moi violement  …

     Dans les couloirs du temps j’ère à présent …

     Je conjugue au présent … même si je l’entends

     Ce passé qui m’appelle … quelqu’un manque à l’appel

     J’ai beau faire la rebelle … j’ai pris une pelle

     Je me suis ramassé … oui je suis tombée

     Sur moi il a déversé tout le mauvais et m’a terrassé

     Comme un animal blessé je pars me cacher …

     Personne ne me verra pleurer, je me suis bien trop dénudée

     Je me suis mise à nu mais ce temps là est corrompu

     Dans le passé je me suis perdu … et ce sans retenue

     Je ne peux avancer ... je suis bien trop liée …

     A ce terrible passé qui m’a décimée, presque térrassée

     J’ai perdu cette guerre je n’en suis pas fière

     Aujourd’hui je n’ai qu’une prière …Que mon cœur, devienne à jamais pierre …

     Mais je ne sais pas faire …je ne sais pas me taire

     Alors je déverse mes maux et je lâche mes mots… je suis sur l’échafaud

     J’ai le mal dans la peau … je porte ce fardeau …

     J’ai la douleur en mon cœur et j’en ai très peur …

     Cette douleur je ne l’apprivoise plus …je ne me battrais plus

     Ils ont gagnés … j’ai perdu … Mais je ne m'avoue pas vaincu ... 

     Tel le phœnix je renaitrais de mes cendres ... et bien mal à qui essayerai de me descendre  

     Aimer pour moi n'est pas un verbe dérisoire ... et je ne le conjugue jamais au hasard  

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  • ...

    des mots pour mes maux


    6 commentaires
  • des mots pour mes maux


    votre commentaire
  • des mots pour mes maux


    votre commentaire
  • des mots pour mes maux 

    Il pleut sur ma vie, comme il pleut dans mon cœur

    Tout s’est éteint sans bruit il n’y a plus une lueur

    Je me fane … le silence se profane

    Par des cris sourds que personne n’entent

    Ces hurlements qui brulent en dedans

    Je voudrais pouvoir crier …

    Mais ma voix s’est elle-même terrassée

    J’ai perdu je dois bien l’avouer

    Ces images n’appartiennent plus qu’au passé

    Alors je laisse couler ces perles de pluie …

    Qui ruissellent sur mes joues endolories

    J’ai les tripes à l’air … dans mon cœur s’est la guerre

    Je n’ai pas remporté cette bataille …

    S’est le chao, la pagaille

    Mon corps endormi se réveille quand je pense à lui

    Il était toute ma vie … mais celle-ci s’est enfuit

    Il est parti sans un bruit …Et moi je reste seule ici

    Enfermée dans l’oubli, à ressassé mes souvenirs jaunis

    Il pleut dans mon cœur comme il pleut sur ma vie

    Je ne peux que constater ceci …

    Ainsi va la vie non elle n’est pas jolie

    Elle est pire qu’un fruit qui pourrit …

    Je suis tombée de l’arbre … aujourd’hui je cafarde

    Je voudrais savoir hurler … mais je ne sais que pleurer

    Je voudrais effacer … mais je ne sais plus gommer

    Ces erreurs du passé qui bien trop souvent ont tout emportés

    Il n’existe plus ce présent … il ne reste que l’absent …

    J’ai un vide en moi j’ai peur et j’ai froid

    Je ne sais quand cela aura raison de moi, maintenant advienne que pourra

    Aimer s’est savoir aussi laissé partir … je n’ai pas eu droit de choisir

    Et s’est bien là ce qu’il y a de pire … mais il n’y a plus rien à redire

    des mots pour mes maux

      

      

     

       

     


    votre commentaire
  •  

    Au delà des apparences il existe une souffrance

    Au delà des rancœurs il existe des peurs …

    Au delà des sourires il existe des envies de dire

    Des envies d’écrire comme pour effacer le pire

    L’angoisse d’une page blanche …

    Et pourtant des maux qui viennent en avalanche

    Des cris sourds que personne n’entend …

    Et ces tripes qui hurlent là dedans …

    Rien ne sera plus jamais comme avant

    Elle le sait maintenant

    Mais il y a des sentiments qui perdurent

    Ce qui pour elle est le plus dur

    Elle voudrait tout effacer …

    Comme sur un cahier tout gommer et tout recommencer

    Mais le destin se fait taquin …

    Il ne veut plus la suivre sur son chemin

    Alors elle hurle en silence

    En attendant la sentence …

    Le désespoir s’est pour elle son pire cauchemar

    Et pourtant dans son regard blafard elle garde encore une toute petite lueur d’espoir

    Elle voudrait s’échapper du noir …

    Mais le loup l’attend dans le couloir …

    Il est là prêt à la dévorer …

    Serais ce pour elle là la clé de la liberté

    Alors elle écrit … elle crie …

    Et laisse couler ses larmes aussi …

    Un jour elle espère … que cela ne sera plus une chimère

    Qu’elle reprendra enfin gout à la vie …

    Celle qui à jamais la fuit …

    Mais ce n’est pas encore pour aujourd’hui …

    Alors elle continue de pousser des cris à travers ses écrits …

      

      

      

     

     

     


    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique